Quand la CGT écrase 47% des salaries !!!!!



le 13/10/25


Lors du premier CSE du nouveau mandat, du 13 novembre 2025 la CGT a montré une fois de plus son vrai visage.

Avec à peine 53 % des voix, ils ont décidé de tout prendre : toutes les sièges au bureau du CSE, toutes les places en Commission Sécurité Santé et Condition de Travail, toutes les places en commission RH ....

Ils n’ont rien laissé aux autres organisations syndicales, ni même la moindre place pour permettre un vrai travail collectif.

 

➡️ Résultat : 47 % des salariés, près d’un salarié sur deux, se retrouvent totalement exclus des commissions.

Le message de la CGT est clair : “Si vous n’avez pas voté pour nous, vous ne comptez pas.”

 

C’est une honte.

C’est un mépris total des électeurs, une prise d’otage du dialogue social.

Ils confisquent les mandats comme on confisque un pouvoir, sans se soucier de l’intérêt général ni du travail concret à mener.

 

Et le plus grave, c’est que ce n’est pas nouveau :

Lors du précédent mandat, plusieurs de leurs élus n’ont presque jamais mis les pieds en commission, ni en CSSCT, ni arbres des causes.....

Pendant ce temps, des représentants FO compétents, formés, motivés et disponibles, restaient sur la touche.

 

👉 Ils préfèrent bloquer les autres plutôt que de faire avancer les dossiers.

👉 Ils préfèrent occuper les sièges plutôt que de faire le travail.

👉 Ils préfèrent la politique et la posture à la sécurité et à la défense des salariés.

 

Chez Force Ouvrière, nous refusons ce syndicalisme de confiscation.

Nous défendons un syndicalisme libre, honnête et utile, où chaque voix compte, où chaque salarié a sa place.

 

La CGT prétend parler au nom des travailleurs, mais en réalité, elle écrase la moitié d’entre eux.

Quand on empêche les autres de participer, quand on écarte les compétences pour garder le pouvoir, on trahit l’esprit même du syndicalisme.

 

Nous, FO, continuerons à le dire haut et fort :

Le CSE appartient à tous les salariés, pas à une bande qui se croit propriétaire des instances.

Nous ne laisserons pas la CGT faire taire les 47 % de salariés qu’elle méprise.

La CGT aurait-elle peur d’un débat d’idées ?

Un débat ouvert, constructif, aurait pourtant été favorable aux salariés, en permettant d’enrichir les propositions et d’améliorer les conditions de travail de tous.

 

 

Quand on refuse la contradiction, c’est souvent qu’on redoute la comparaison.

 
 

 

Force Ouvrière – La voix de tous, pas celle d’un seul camp.